Le passage de Marc Marc Marquez chez Ducati a entrainé un regain de performance pour le sexptuple champion du monde.
Certes, la victoire n'est pas encore là mais le pilote se retrouve 4ème du championnat du monde et loin devant au classement des pilotes possédant la GP23.
Mais s'il y a une statistique qu'on pensait voir en baisse chez Marc Marquez, c'est au niveau du nombre de chutes.
On pensait surtout que c'était du à la Honda mais il fallait se rappeler que même au temps de sa splendeur, Marquez tombait aussi beaucoup, en témoigne ses 27 chutes en 2018.
Mais en début de saison, on pensait que ce passé était révolu, Marc Marquez entre le test de Valence et le dernier jour du test au Qatar n'avait subi aucune chute. Et puis la première chute survint dans la dernière journée d'essais officiels.
Et à partir de là, on a compris que Marc Marquez continuait à travailler comme du temps de Honda, il lui faut cerner la limite en essais libres pour essayer de ne pas reproduire les mêmes erreurs en course.
Marc Marquez nous en dit plus à ce sujet en commençant par expliquer sa chute sur le Sprint sur le circuit de Spielberg :
Cela aurait été un podium facile, j'ai très bien roulé. Dans la première moitié de la course, j’ai pensé à rester calme. Dans les cinq derniers tours, j’ai senti que je pouvais attaquer. J'ai récupéré un peu, j'ai attaqué un peu plus, j'ai réalisé mon premier secteur le plus rapide de la course et puis c'est arrivé dans le virage 3.
C'est arrivé parce que je n'avais pas senti que je pouvais me battre pour la victoire depuis longtemps. Pecco a quelque chose de plus dans son sac, mais j'étais proche de lui .
Bien sûr, j'aimerais moins tomber. Mais le nombre de chutes est un chiffre qui finalement ne m'intéresse pas beaucoup.
C'est vrai, en première partie de saison, à Portimao et Austin par exemple, je suis souvent tombé. Cela a eu un impact négatif sur mon estime de soi. L'aspect le plus positif, c'est que je chute surtout aux essais libres.
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