Pecco Bagnaia, impérial, était seul sur sa planète.

C'est un week-end de rêve que vit Pecco Bagnaia depuis vendredi.

1er de la FP1

1er de la FP

1er de la FP2

1er de la Q2

Vainqueur du Sprint.

Il y a lui et les autres. Certes en qualifications, comme il sait si bien le faire, Jorge Martin s'est dangereusement rapproché mais Pecco avait quelque chose en plus sur le rythme de course.

Il reconnait même qu'il en a un peu gardé sous la poignée! Demain il sera encore le grand favori et pourrait se rapprocher davantage de Jorge Martin au classement du championnat du monde.

Comment expliquez-vous que vous soyez aussi fort ?

Nous sommes forts depuis depuis plusieurs courses, mais je pense que certaines choses se sont améliorées le samedi lors des Sprints. Lors des deux derniers Sprints, je n'ai eu aucun problème et je les ai gagnés. Nous avons très bien travaillé, nous avons réussi à avoir quelque chose de plus depuis hier.

Quand j'ai réalise 1'31"5, j'ai essayé de gérer un peu plus mais en continuant de pousser fort. Il restait encore une certaine marge. Je n'étais pas très content du ressenti avec l'avant, mais le dur était le seul choix possible et c'était le bon.

On remarque que vous êtes fort dès le début du week-end, comment expliquez vous cela ?

Nous avons beaucoup travaillé au début du championnat, même si j'avais gagné au Qatar, je n'étais pas content du sentiment général. Nous avons trouvé une solution à Jerez et nous nous sommes améliorés à partir de là.

Ici on a commencé fort, on a atteint le minimum pour adapter la moto à la piste. Pendant la pause, j'ai travaillé sur le plan physique, ce qui est toujours important.