
C'est un fait que les pilotes Apilia n'ont pas apprécié le modèle 2024 sur lequel ils misaient beaucoup d'espoirs.
Il y a quelques jours, Maverick Vinales avait dit que cette moto était loin du comportement sain de sa devancière et Raul disait la même chose.
On peut comparer les deux modèles vu que Raul a changé de modèle à mi-saison.
Avec le modèle 2023, Raul Fernandez a inscrit 46 points, quand il a basculé vers le modèle 2024, il n'en a plus inscrit que 20.
Et son meilleur week-end avec le modèle 2024 a été en Australie, course avec laquelle il avait couru sans ailerons ! Preuve peut-être que l'aérodynamique du nouveau modèle n'était pas si bonne que cela.
Mais Massimo Rivola, le team manager de l'équipe Aprilia a reconnu qu'ils ont eu besoin de pousser Raul qui n'aimait pas rouler avec le matériel mis à sa disposition.
Nous attendons beaucoup de Raul. En 2024, nous avions déjà de grandes attentes. Mais il a changé de moto en cours de saison, et ensuite il n'était pas vraiment confiant sur la 2024.
Je pense que Raúl peut réaliser une très bonne performance et, évidemment, c'est à nous de lui donner une bonne moto.
Je pense que parfois les pilotes vous amènent dans la direction pour obtenir, disons la moto qui leur convient le mieux, qui n'est pas nécessairement le plus rapide sur la piste.
Nous avons donc dû être parfois assez durs et sûrs de nos convictions et le pousser à continuer d'essayer quelque chose qu'il n'aime peut-être pas, mais dont nous savons qu'il est plus rapide.
Je pense donc que ce sera le travail principal l'année prochaine et j'attends également cela de notre nouveau directeur technique Fabiano Sterlacchini pour pousser et trouver le meilleur compromis.

Quand bien même, je reconnaîs ne pas emballé par Raul, Il est des propos que je ne comprends pas toujours, et qui me hérissent un peu le poil.
Je dois être un dinosaure équipé d'un cerveau gros comme un petit pois séché,
(qui a dit :oui 😠)
🤣
mais pourquoi se casser le fion à recruter et mettre un pilote sur une moto qu'il ne saurait pas faire avancer, puisque les compilations de datas, les algorythmes alambiqués prouvent (sur un écran) qu'ils savent comment la faire rouler.
Non, mais allo, quoi....
Je crois que c'est en Arabie Saoudite, ou au Qatar qu'ils ont résolu la question pour les courses de chameaux :
ils ont des robots en guise de jockeys...
Étrange façon de faire progresser une machine en ne tenant pas compte des avis de ceux qui doivent la piloter et la pousser à ses limites. Les résultats ont démontré que cette politique n'est pas la bonne.