Alors que Jorge Viegas président de la FIM veut maintenir le grand prix de Valence avec l'argument d'aider économiquement la région de Valence, Marc Marquez répond ceci :
Cela n'a aucun sens, car il ne s'agit pas seulement de dire "nous allons aider l'économie". Ce n'est pas une question d'argent.
C'est une question de main d'oeuvre dont on a besoin la population, c'est une question de temps, c'est une question de gens qui perdent tout et vous voyez les rues.
À Valence, tout est désastre, c'est comme dans un film. Et les sinistrés sont logés dans les installations du circuit.
Ce n’est donc pas une question d’argent. Bien sûr, l’argent peut aider à ramener une vie normale le plus rapidement possible, tout le monde le souhaite.
Mais en tant qu’être humain, en tant qu’Espagnol, je ne peux pas imaginer réaliser un GP en deux semaines là-bas.
De son côté, Pecco BAGNAIA a clairement exprimé son refus de courir à Valence, même si cela devait lui coûter le titre.
RESPECT !