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Mélandri nous parle de Pecco Bagnaia, de Fabio Quartararo et de Marc Marquez.

Photo du rédacteur: Philippe MartinezPhilippe Martinez


Le champion italien nous parle d'abord de la course intelligente de Bagnaia en Australie mais sans minimiser la victoire de Rins :


Ni Marquez ni Rins ne jouent le championnat du monde, donc ils n'avaient rien à perdre.


Quand Bagnaia a vu Quartararo sortir, il a dit 'de toute façon je mènerai le Championnat du Monde avec un avantage de points si je termine troisième'.


Bien que la Ducati ait un bon moteur, à Phillip Island, il est essentiel de sortir fort du dernier virage. La Ducati n'avait pas beaucoup de traction à l'entrée du virage et n'a pas pu profiter du moteur à l'arrivée. Donc de mon point de vue Bagnaia a donné le maximum possible.


Il nous parle ensuite de Fabio et il pense qu'il a été impatient :


Il avait peut-être le rythme pour gagner, mais je pense qu'il était trop pressé, car à Phillip Island on ne gagne jamais la course dans les premiers tours. Regardez Rins, il a atteint le sommet sans se presser et a gagné.


Le problème de Quartararo c'est que, roulant parmi les autres, il ne peut pas bien prendre la ligne et ne peut pas être rapide. Il a fait une petite erreur et il a payé cher pour ça.


Ensuite il passe à Marc Marquez et il n'utilise pas la langue de bois, pour lui, Marquez et Rossi c'est personnalités très semblables :


Marquez a clôturé l'ère Valentino Rossi et en a ouvert une autre. En bien des choses, Marc ressemble à Valentino : sur le plan sportif, c'est un bâtard et sur la piste, il a fait tout ce que Vale avait fait auparavant.

 
 
 

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