Alex Marquez a parfaitement ajusté la Mir et a tapé dans le mille.

Alex Marquez s'est fait une spécialité et tout accrochage avec lui fait qu'il ne veut plus vous lâcher.

Rappelez vous l'incident avec Pecco Bagnaia à Aragon :

Alors qu'à Aragon il n'a pas été sanctionné car Pecco Bagnaia avait aussi sa part de responsabilité, cette fois-ci, les commissaires ont tranché en faveur de Joan Mir.

Le cadet des Marquez a donc écopé d'un long lap à effectuer lors de la course du dimanche à Phillip Island.

Alex Marquez estime que sa pénalité est injuste car il y a une semaine, c'est lui qui a subi le même accrochage et il n'y avait pas eu de sanctions.

Alex Marquez :

Je ne suis pas d’accord avec cette décision. Il y a sept jours, au virage 3, un autre pilote m’a touché de la même manière, et rien n’a été fait. Cela montre que les règles ne sont pas appliquées de manière égale pour tout le monde. Mais nous allons faire de la raison une vertu et nous concentrer sur l’Australie pour nous redresser.

Joan Mir :

Il est sorti large, après j'ai saisi l'opportunité de le dépasser, on a changé de direction et quand j'étais au milieu du virage 12, il m'a violemment percuté à l'arrière, sa moto s'est coincée entre ma selle et mon bras oscillant. Je suis allé tout droit dans les graviers. C'est incroyable, c'est fou ce qu'il s'est passé.

J'attends des excuses. J'ai besoin d'excuses, quand tu détruis la course de quelqu'un, je veux qu'il me dise qu'il est désolé, s'il le pense vraiment. C'est normal que je sois fâché. Ce n'est pas la première fois que ce genre de chose arrive avec lui.

La manœuvre est similaire à celle qu'il a faite à Aragón avec Pecco. Ce n'est pas exactement la même, parce que il était clairement devant. Pecco essayait de le dépasser, moi j'étais devant. Mais sa moto s'est arrêtée au même endroit que dans celle de Pecco à Aragon. C'est fou, c'est fou.