C'est l'excellent site Corsedimoto qui nous l'apprend, aussi surprenant que cela puisse paraitre, il n'y avait pas de tests d'alcoolémie sur les grands prix Moto.
Pourtant, cela a existé par le passé, dès les années 50, parmi ces courses où il y avait des tests, on peut nommer l'Asama Highland Race.
Pour être plus précis, 3 pilotes seront tirés au sort chaque week-end mais ce sont 3 pilotes qui pourront faire partis du Moto 3, du Moto 2 ou du Moto Gp.
Les convocations pourront avoir lieu à partir de 12h avant la 1ère séance d'essais libres et jusque 30 minutes après la fin de la Course.
Le taux maximum a été fixé à 0,10g/l, donc un taux très faible, autant dire qu'à partir de jeudi soir, les pilotes devront éviter toute absorption d'alcool, ne serait-ce qu'une bière.
Tout contrôle positif entrainera l'excusion du week-end avec possibilité de suspension pour plusieurs grands prix.
Nouveauté concernant les commotions :
Autre mesure, un protocole sera mis en place concernant les commottions cérébrales.
Il s'agit du SCAT5, un outil standardisé et unifié utilisé dans divers sports pour l'évaluation des commotions cérébrales. Les médecins devront le mettre en œuvre dans tout cas suspect, évitant ainsi la récurrence de certains épisodes survenus récemment.
(Par exemple Raul Fernandez à Burinam qui avait repris la moto complètement groggy).
C’est degueulasse cette mesure, et je pèse mes mots. En plus, elle est anti française. On pourra plus rire des sorties plus que perchées de Zarco? Le poète de la grille, le musicien ( mariages, communions, bar mitzvah, pots de départ en retraite- la, c’est mal barre-), l’homme qui voit ce qui n’existe pas, le David Vincent de la moto.
Une honte vous dis je. D’autant qu’il ne faisait de mal à personne puisqu’il ne gagne pas.
Mais que fait la police?🤣🤣😂😂
Putain, un test possible 30 min après l'arrivée?? Si malheureusement pour lui un des 3 premiers du GP fait parti des testés, il n'a pas intérêt à avoir bu du champagne sur le podium...
Pour le SCAT5 (pour commotions cérébrales), il est utilisé depuis 2017 au rugby. Ce test aide le médecin du match avec le joueur concerné, hors du terrain et dans la cabine dédiée dans le stade à établir un diagnostic autre que visuel.
Avant la création de ce test, le médecin établissait son diagnostic avec un examen visuel et quelques questions; là, maintenant c'est beaucoup plus complet et efficace dans la détection de commotions cérébrales (fréquentes dans le rugby).
Avant il n'y avait que l'éponge magique qui…
Ils se préparent au retour du fils prodigue, Iannone...